L’immobilier viager en Bretagne est encadré par un contrat de transaction immobilière établi entre le vendeur ou crédirentier et l’acheteur ou débirentier. Ce contrat est signé devant un notaire. Il prend effet immédiatement par le versement initial d’un bouquet. Il s’ensuit le versement périodique d’une rente au vendeur. Le bien concerné peut être libéré immédiatement ou occupé par le vendeur jusqu’à son décès. Tout est fonction du contrat et de ses clauses. On vous l’explique plus en détail dans cet article.
Comment fonctionne le viager en Bretagne ?
L’immobilier en viager sur la région Bretagne est à considérer pour les primo-accédants. Si vous avez un projet de vente ou d’achat viager en Bretagne, vous pouvez recourir aux annonces immobilières dans la région. Vous pouvez vous faire accompagner par un expert en viager en Bretagne. Une fois que le vendeur et l’acheteur se mettent d’accord sur le montant du bouquet et celui de la rente, ils peuvent établir un contrat. Ils le signent devant un notaire. Ils sont libres de déterminer le contenu du contrat. Ils sont également libres d’y ajouter des clauses en prévision d’événements susceptibles de bouleverser le versement du loyer.
Dès la signature du contrat, le vendeur perçoit le bouquet comme convenu. Pour la rente périodique, son versement se fait mensuellement, trimestriellement ou annuellement. Le montant de la rente est déterminé à partir de la valeur du bien concerné, de l’âge du crédirentier. Mais surtout, il dépend du montant de l’apport initial. Son montant total ne peut donc être déterminé qu’à la fin du contrat. Il est donc fonction de la longévité du crédirentier. Ce dernier a l’opportunité d’augmenter sa pension de retraite.
Quelles sont les différentes catégories d’immobilier viager en Bretagne ?
Il y a plusieurs options disponibles dans l’immobilier viager en Bretagne. Le plus intéressant pour le crédirentier est le viager occupé. Avec cette option, le crédirentier peut garder son droit à l’usufruit du bien. Cela signifie qu’il peut rester vivre dans son logement jusqu’à son décès. Sur cette période, il perçoit une rente périodique. Il peut aussi choisir d’occuper la maison ou l’appartement viager jusqu’à ce qu’il décide de le libérer. Dans tous les cas, le vendeur ne peut pas vendre le bien concerné jusqu’au terme du contrat de la transaction immobilière.
L’autre option est le viager libre. Comme son nom l’indique, cette formule est soumise à la libération immédiate du bien concerné à l’issue de la signature du contrat. Le débirentier peut alors utiliser le bien à sa guise : le louer ou l’occuper. Il en a la jouissance bien que son prix ne soit pas encore réglé en totalité. Il continue toutefois de verser la rente au crédirentier.
Dans des cas rares, le viager à terme peut être envisagé. Le nombre d’années de paiement de la rente est préalablement déterminé.